Le début du mois de septembre à Cozumel marque généralement le début de la saison de maintenance, en particulier les projets de rénovation de bateaux que tout le monde a reportés. Si les bateaux doivent être entretenus, septembre est généralement le mois où cela se produit. Ce serait parce que c’est la basse saison ici sur l’île. La majorité des affaires ici – toutes les affaires, pas seulement celles axées sur la plongée – souffrent d’un manque de ventes en septembre – octobre. On pourrait donc penser que c’est le moment idéal pour sortir les bateaux et travailler dessus. Cependant, c’est un hic 22 car nous sommes lents en affaires car c’est la saison des pluies. Et la pluie rend le travail de la fibre de verre et la peinture presque impossibles à réaliser. C’est donc un petit jeu que nous jouons contre Mère Nature. Une course contre la pluie. Et jusqu’à présent, nous ne nous en sortons pas bien cette saison.
Le 4 septembre, on m’a cité environ 14 jours, plus ou moins, pour des travaux de fibre de verre et de peinture. Nous suivrons cela avec un nouveau système électrique complet sur le bateau, qui nous a été cité à 7 jours ou travaux. Donc, essentiellement, nous parlons d’environ 21 jours pour le projet de rénovation du bateau du début à la fin. Le 11 octobre, notre bateau est toujours assis avec le magasin de fibre de verre. À un moment donné, le travail n’a pas été effectué en raison de la pluie pendant 12 jours consécutifs. Ça arrive. Mais quand c’est ton seul bateau, ça fait mal.
Quoi qu’il en soit, j’ai pensé que ce blog pourrait être une présentation amusante du projet de rénovation complète du bateau de la Libra II. Gardez à l’esprit qu’au moment où je commence à écrire, je n’ai aucune idée de la façon dont ce remodelage du bateau se termine car le projet est très en retard. Espérons qu’il n’y ait pas de fins surprises !
Je laisserai une histoire détaillée sur l’acquisition du bateau pour de futurs blogs de réflexion, mais en bref, le Libra II est devenu mon bateau le 1er décembre 2016. Le souhait était que cela se produise en juin/juillet afin que nous puissions immédiatement entretenir le bateau, mais cela ne s’est tout simplement pas produit. Et décembre commence la montée en puissance des affaires pour la haute saison, donc cela n’avait aucun sens de le mettre en cale sèche pour commencer la haute saison. À l’époque, je n’étais pas emballé par cela, mais avec le recul, j’apprécie car cela m’a donné l’opportunité de travailler une saison sur le bateau et d’envisager les changements que je voyais comme bénéfiques.
Remodelage de bateau, première étape
Sur une île des Caraïbes, tout est aventure. Les remorques générales utilisées pour remorquer les bateaux sont des abominations en acier soudées sur mesure localement. Disons simplement que ces remorques ne ressemblent en rien à la remorque personnalisée que j’avais sur mon bateau aux États-Unis. Celui que j’utilise à Cozumel a 3 essieux / 6 roues. À tout moment, j’ai un essieu avec les deux roues qui se touchent et deux essieux avec chacun une roue qui se touche. Hé, 4 roues sur 6 c’est mieux que 50% ! Et quand le bateau est sur la remorque j’atteins un total de 5 roues sur 6 qui touchent le trottoir. #Gagnant! Ha!
Ensuite, il y a la rampe de mise à l’eau. Il ne s’étend pas assez profondément, vous pouvez donc choisir de laisser tomber les roues de votre remorque par-dessus le bord ou de garder la remorque moins profonde que nécessaire. Dans les deux cas, vous avez besoin de tous les capitaines de bateau rassemblés pour vous aider à soulever et à reculer la remorque sur le trottoir ou à soulever le bateau sur / hors de la remorque.< Soupir> Je manque ces jours à la rampe de mise à l’eau de Lithia Springs Marina où les installations étaient impeccables. Je veux dire, l’Illinois ne me manque pas, juste cette rampe de mise à l’eau !
C’était à peu près aussi haut sur la remorque que nous avons obtenu le bateau sans utiliser la puissance du moteur et la main-d’œuvre. Comme vous pouvez également le voir, les couchettes ne courent pas sur la longueur de la remorque. J’avais de vieux pneus de tracteur prêts à fournir un coussin si nécessaire, mais finalement ils n’étaient pas nécessaires. De même, le bateau ne va pas bien, il est donc difficile de le déplacer.
Une étude du positionnement avant de déplacer le bateau était une bonne idée car il n’était pas correctement assis sur la remorque. Vous pouvez également voir facilement sur cette photo les pneus de la remorque assis sur la rampe. J’ai gardé un essieu sur le trottoir et les deux autres essieux étaient littéralement suspendus en eau libre.
Dans les Caraïbes, les treuils et les remorques bien ajustées sont un luxe qui ne nous est pas offert. Alors on en profite au maximum. Le capitaine Felipe amarre le bateau et c’est parti !
Et puis nous sommes arrêtés. Pneu crevé sur la remorque. Oui, nous le remplissons littéralement directement à partir d’un réservoir d’air de plongée sans raccord de buse – directement à partir de la valve du réservoir !. Quand à Rome…
Enfin, il est prêt à être déplacé quelque part pour le nettoyer et lui donner une inspection détaillée et une estimation des travaux nécessaires.
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